Lorsque je m’émerveille du monde
Sourire sincère, francs éclats de rire
Lorsque la lourde armure tombe
Les yeux grands ouverts, j’admire…
Le balai effréné des sens m’enivre
La beauté de la Raison m’éblouit
Plaisir de voir, apprendre, et vivre !
L’existence improbable me réjouit.
Je suis alors totalement découverte,
Fatale erreur ! Puisque chaque fois
La réalité jaillit, s’impose à moi
Et mon amère blessure est rouverte.
Bras dans les bras, les Autres
Enlacés, s’embrassant, s’aimant
Juste à coté, et si loin pourtant !
Que je les haï, tous ces Autres !
Esseulée, je rêve au loin, et me meurs
Atterrée, submergée de doutes, de peurs
Alors qu’ils nagent dans le bonheur
Sourire sincère, francs éclats de rire
Lorsque la lourde armure tombe
Les yeux grands ouverts, j’admire…
Le balai effréné des sens m’enivre
La beauté de la Raison m’éblouit
Plaisir de voir, apprendre, et vivre !
L’existence improbable me réjouit.
Je suis alors totalement découverte,
Fatale erreur ! Puisque chaque fois
La réalité jaillit, s’impose à moi
Et mon amère blessure est rouverte.
Bras dans les bras, les Autres
Enlacés, s’embrassant, s’aimant
Juste à coté, et si loin pourtant !
Que je les haï, tous ces Autres !
Esseulée, je rêve au loin, et me meurs
Atterrée, submergée de doutes, de peurs
Alors qu’ils nagent dans le bonheur